Anti-inflammatoire et antioxydant naturel, la mise à la terre réduit les douleurs pelviennes, améliore la qualité du sommeil et réduit le stress et l'anxiété.
Qu’est-ce que l’endométriose ?
L'endométriose est une maladie complexe et hormonale qui affecte exclusivement les femmes.
Chaque personne peut la vivre de manière différente.
Le Dr Chrysoula Zacharopoulou, un gynécologue spécialiste de cette maladie, la décrit comme étant "énigmatique" pour les patientes et les médecins, car les causes précises ne sont pas bien connues.
Cette maladie tient son nom de l'endomètre, la muqueuse utérine. Cette muqueuse joue un rôle essentiel dans l'accueil de l'embryon lors de la fécondation. En l'absence de nidation, à la fin du cycle, une desquamation de l'endomètre se produit, ce qui entraîne l'évacuation des cellules endométriales par le col de l'utérus et le vagin correspondant aux règles.
Environ 10% des femmes en âge de procréer dans le monde, soit 190 millions de personnes, souffrent d'endométriose.Les témoignages des femmes et des professionnels impliqués ont permis d'avancer dans l'approche, l'accompagnement et la compréhension de cette affection qui était jusqu’à il y a quelques années très peu reconnue.
Caractéristiques de l’endométriose
Des lésions apparaissent sous forme de fibres blanches cicatricielles, entourées d'un péritoine (membrane séreuse tapissant les parois de l'abdomen) serré et rétracté créant des adhérences entre les organes.
Des nodules (grosseurs anormales) peuvent s'étendrent vers les couches superficielles de la paroi vaginale postérieure et sur le rectum, ce qui provoque des douleurs lors des rapports sexuels, appelées « dyspareunies ».
Parfois, elles apparaissent sous forme de granulations bleutées ou noires, qui correspondent à du “vieux sang”. Pendant les règles, elles peuvent se présenter sous la forme de lésions rouges et hémorragiques, situées sous le péritoine ou à sa surface, et peuvent être bien visibles, surtout pendant les épisodes de saignement en dehors des règles (métrorragies).
Chaque mois, à la fin du cycle menstruel, les endométriomes (tumeurs bénignes, constituées d'éléments épithéliaux et conjonctifs identiques à ceux de l'endomètre) se détachent et se désintègrent sous l'influence des hormones, de la même manière que les cellules endométriales qui se trouvent normalement dans la paroi de l'utérus. Cela provoque une inflammation locale de la membrane péritonéale qui recouvre l'intérieur de l'abdomen. Cette inflammation devient chronique et peut entraîner la formation de kystes et d'adhérences au fil du temps.
Les gynécologues-obstétriciens utilisent une classification en "stades" allant de I à 10 en fonction de la localisation, du nombre de lésions et de la gravité des atteintes.
Dans les cas les plus avancés, où des tissus cicatriciels se forment sur les trompes, obstruant la libération de l'ovule dans l'utérus, l'infertilité peut être fréquente mais pas systématique, cela dépend de chaque personne. L'infertilité est un motif de consultation fréquent chez les femmes atteintes d'endométriose. Dans la population féminine ayant des difficultés de fertilité, environ 20% présentent cette maladie.
Toutes les femmes atteintes d'endométriose sont en âge de procréer. Cette maladie est étroitement liée au cycle menstruel. La grossesse ainsi que la ménopause peuvent améliorer les signes et les symptômes de l'endométriose en raison de l'arrêt des règles, qui assèchent les lésions.
Il existe trois types d'endométriose :
L'endométriose superficielle (aussi appelée péritonéale) : correspondant à des fragments d'endomètre se trouvant à la surface du péritoine. Bien qu'il s'agisse de la forme la moins sévère, elle peut causer des douleurs aussi intenses que les autres formes.
L’endométriose profonde infiltrante, qui est la forme la plus sévère et où les lésions pénètrent de plus de 5 mm dans le péritoine ou les organes abdominaux, tels que vessie/intestins.
L'endométriose ovarienne, également appelée endométriome ou kyste endométriosique, qui se produit lorsque les fragments d'endomètre se greffent sur un ou les deux ovaires.
Diagnostic de l’endométriose
Pour poser un diagnostic d’endométriose, le médecin commence par un entretien avec la patiente afin de prendre connaissance de ses symptômes. Il procède ensuite à un examen gynécologique complet dans le but de repérer d’éventuels nodules ou de déclencher des douleurs spécifiques. Si nécessaire, des examens supplémentaires, tels qu'une échographie ou une IRM, peuvent être réalisés, bien que ces examens ne soient pas toujours suffisants pour détecter la présence de lésions.
L'hystérosalpingographie peut être envisagée afin de vérifier les atteintes des trompes ou une rétroversion de l’utérus. Si le diagnostic est confirmé, le chirurgien peut effectuer un traitement chirurgical immédiatement selon la situation.
Causes de l’endométriose
Les causes de l'endométriose sont encore mal comprises, mais plusieurs hypothèses ont été avancées. La plus admise est celle du flux rétrograde durant les règles.
Physiologiquement, le sang et les cellules de l'endomètre sont expulsés vers l'extérieur par les contractions musculaires de l’utérus. Il peut arriver que le flux sanguin s'inverse, change de sens et s’oriente dans la cavité pelvienne en passant par les trompes.
Une autre hypothèse suggère que le tissu endométrial pourrait migrer hors de l'utérus par le biais de la lymphe ou du sang.
Certaines cellules situées à l'extérieur de l'utérus pourraient également se transformer en cellules endométriales sous l'influence de facteurs génétiques ou environnementaux.
Les œstrogènes peuvent augmenter l'inflammation, le développement de l'endométriose et les douleurs qui y sont associées, et jouent donc un rôle dans la maladie, bien que leur absence ne signifie pas forcément l'absence de la maladie. Il est important de comprendre les facteurs qui contribuent à l'endométriose pour améliorer le diagnostic et le traitement de cette maladie.
Facteurs favorisants l’apparition de l’endométriose
L'endométriose est causée par plusieurs facteurs, ce qui en fait une maladie multifactorielle. Les chercheurs pensent que cela se produit principalement pendant les règles, lorsque des fragments d'endomètre remontent dans le pelvis par les trompes de Fallope, ce qui entraîne des menstruations rétrogrades. Ces morceaux de muqueuse s'attachent alors au péritoine ou aux organes en dehors de la cavité utérine.
D'autres facteurs favorisants ont également été identifiés, notamment des problèmes mécaniques tels que des anomalies du col de l'utérus qui peuvent obstruer l'appareil génital, une prédisposition génétique, des facteurs hormonaux et une réponse immunitaire et inflammatoire inadéquate.
On sait également que les femmes qui n'ont pas eu d'enfant et celles qui ont des cycles menstruels courts et des règles abondantes ont un risque plus élevé de développer l'endométriose.
<< L'APPORT DE LA NATUROPATHIE CHEZ LES FEMMES ATTEINTES D'ENDOMETRIOSE>>,Flore WAITE, 2022.
Extrait de son mémoire:
A.2.c. Endométriose et causes psychiques
Le lien entre violences sexuelles et endométriose est encore tabou. Il commence à être abordé en France par Violaine Guérin, médecin spécialiste en gynécologie et endocrinologie, en 2019. En effet, en plus de mettre en lumière la surreprésentation de femmes ayant été violentées souffrant d'endométriose, remarquée tout au long de sa pratique en tant que médecin mais aussi présidente de son association « Stop aux violences sexuelles », elle rappelle dans un entretien avec le journal 20 Minutes, que « l'impact physiologique d'un viol ou d'une agression est souvent aussi important que l'impact psychologique ». Au travers de plusieurs études menées lors des dernières décennies, le lien entre violences sexuelles et douleurs pelviennes avait déjà été étudié, par exemple avec l'étude de Chandler et al. en 2006 qui avait démontré que les femmes ayant vécu des violences sexuelles avec viol avaient 48 % de plus de douleurs pelviennes que les femmes n'en ayant pas subi. Mais les recherches sur le lien entre violences et apparition de troubles gynécologiques, elles, n'en sont qu'à leurs prémices. Pourtant, il est important de noter qu'un traumatisme, quel qu'il soit, peut entraîner des répercussions sur le corps physique et psychique, s'il n'est pas traité et intégré. En effet, un traumatisme se crée lorsque l'individu n'a pas su réagir de manière active face à un événement, par la fuite ou le combat. Le système de l'individu se fige, et l'énergie et le stress qui étaient mobilisés pour faire face à l'événement s'en trouvent bloqués à l'intérieur. C'est ce stress intense, induisant un blocage énergétique, qui pourrait entraîner avec le temps des troubles divers et variés.
La cohorte intitulée « The Nurses Health Study II» est menée par L'Institut National de la Santé des États-Unis sur plusieurs décennies auprès d'infirmières, avec pour sujet de recherche les facteurs de risque des grandes maladies chroniques chez les femmes. C'est à ce jour une des études les plus importantes menées sur la santé des femmes, Dans le cadre de cette étude, une autre cohorte prospective menée en 2018 par H. Harris et al. a utilisé ses données recueillies de 1989 à 2013, auprès de femmes pré-ménopausées, en leur demandant de remplir un questionnaire en 2001 à propos de l'exposition à de la violence et à de la victimisation. Au cours des 24 années, 3 394 cas d'endométrioses ont été diagnostiqués. Les résultats montrent que le risque de développer une endométriose était plus élevé chez les femmes ayant subi des abus physiques ou sexuels graves, comparé aux femmes n'en ayant vécu aucun. De manière plus précise, selon l'étude le risque d'endométriose était accru de 79 % lorsqu'il y avait eu abus sévères de plusieurs types. A également été mis en lumière un risque accru d'endométriose lié aux abus sexuels et physiques au début de la vie, ainsi qu'une augmentation du risque selon la gravité, la chronicité et l'accumulation des types d'abus.
De façon plus informelle, nombreux sont les gynécologues et obstétriciens rapportant un nombre conséquent de patientes suivies pour une endométriose et témoignant de violences sexuelles. Beaucoup soulignent l'importance d'un parcours de soins différents pour ces patientes-ci, nécessitant un réel travail au niveau émotionnel et psychologique.
De plus, si l'on se penche sur le versant symbolique de l'endométriose, et que l'on part du principe qu'une fonction d'un organe et de son système puisse donner des détails sur une éventuelle origine psychosomatique, on pourrait supposer que l'endométriose puisse être la manifestation, entre autres, d'un rapport troublé à la féminité, d'une confiance en soi bafouée induisant des croyances négatives sur la capacité à être une « bonne mère », d'un dysfonctionnement de la sphère familiale entraînant une peur de mettre au monde et de créer son foyer, etc. En effet, l'utérus et le système reproducteur ont comme fonctions organiques la procréation, la nidation, et peuvent être par analogie associés à la féminité, le foyer, la capacité à mettre au monde, devenir mère... Autant de facteurs symboliques pouvant être mis à mal par des traumatismes, des expériences vécues, une certaine éducation, un environnement social et familial particulier, entre autres. Dans son livre « Les causes cachées des maladies », Daniel Kieffer aborde la symbolique et les possibles origines psychosomatiques des troubles gynécologiques, riche de son expérience en tant que naturopathe auprès de nombreuses clientes. Il remarque qu'une grande partie des femmes suivies pour des troubles de l'endomètre, comme l'hyperplasie endométriale par exemple, avaient un désir d'enfant non assouvi, ou eu l'expérience d'un avortement. Selon lui ce trouble venait comme remplacer cet enfant non existant, comme un enfant imaginaire. Cette hypothèse pourrait très bien s'appliquer à l'endométriose en tant que telle.
Le fait qu'une origine émotionnelle, psychique et/ou traumatique puisse être à l'origine de l'endométriose, n'est évidemment pas encore validé scientifiquement. Pour le moment, les recherches sur le sujet n'en sont qu'à leurs balbutiements, et un champ des possibles s'ouvrent pour mieux traiter la maladie à travers une approche multi-dimensionnelle et toujours plus individualisée."
HARRIS R. Holly et al. (07/2018). « Early life abuse and risk of endometriosis ».Récupéré le 12/09/2022 surhttps://www.researchgate.net/publication/326465408_Early_life _abuse_and_risk_of_endometriosis.
GUERIN Violaine.Stop aux violences sexuelles : écoutons donc ces corps qui parlent !Auto-éd. Violaine Guérin. 2011.
KIEFFER Daniel.Les causes cachées des maladies. Ed. Jouvence. 2022.
Les symptômes de l'endométriose incluent des douleurs croissantes dans la partie inférieure de l'abdomen qui peuvent irradier dans le bas du dos, souvent d'un côté de l'abdomen plus que l'autre. Les douleurs augmentent pendant les règles, la miction, les mouvements intestinaux perturbés (diarrhée ou constipation) et les rapports sexuels. Parfois, ils s'intensifient lors de l'ovulation. La difficulté à concevoir un enfant peut également être un symptôme.
D'autres symptômes généraux peuvent inclure la fatigue, l'irritabilité ou la dépression en raison de la douleur chronique, des pertes brunes avant les règles, du sang dans l'urine, et du sang dans les selles ou des saignements rectaux pendant les règles.
Il est fréquent que les symptômes disparaissent après la ménopause, mais ce n’est pas toujours le cas.
Les personnes atteintes d'endométriose peuvent ne présenter aucun symptôme, tandis que d'autres peuvent avoir des symptômes très différents. Par conséquent, les professionnels de santé peinent parfois à diagnostiquer l'endométriose, d'autant plus que de nombreuses personnes ne sont pas conscientes de cette maladie.
Evolution de la maladie
L'endométriose peut évoluer différemment selon les cas, mais en général, la pathologie a tendance à s'aggraver avec le temps si elle n'est pas traitée rapidement.
Les symptômes peuvent s'accentuer et devenir plus douloureux et handicapants.
Deux situations peuvent cependant faire régresser les symptômes : la ménopause, qui soulage définitivement les douleurs, et la grossesse, qui apporte un soulagement temporaire en arrêtant les règles et en diminuant la taille des lésions.
L’infertilité reste le principal risque associé à l'endométriose, avec une femme sur trois souffrant de difficultés à procréer. Les lésions peuvent endommager les trompes de Fallope, altérer la qualité des ovules et rendre difficile la nidation de l'embryon.
A ne pas sous etimer, les douleurs chroniques qui impactent la qualité de vie de la femme et affectent sa vie professionnelle et personnelle. Il est donc primordial de diagnostiquer et de traiter rapidement l'endométriose pour minimiser les conséquences sur la fertilité et la qualité de vie de la patiente.
Prévention
Une prise de conscience accrue, un diagnostic précoce, ainsi qu'une gestion appropriée de la maladie, voici le triptyque indispensable pour aider à ralentir ou arrêter sa progression naturelle, soulager les symptômes à long terme et potentiellement réduire le risque de sensibilisation du système nerveux central à la douleur.
Traitement de l’endométriose
Les traitements de l'endométriose dépendent de la gravité des symptômes et de la volonté de concevoir un enfant. Cependant, aucun traitement ne peut guérir complètement cette maladie. Différents médicaments peuvent être utilisés pour soulager les symptômes tels que les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et les analgésiques, ou les médicaments hormonaux tels que les analogues de la GnRH et les contraceptifs.
Les traitements de fertilité peuvent également être utilisés si l'endométriose est la cause de l'infertilité. Une intervention chirurgicale peut également être envisagée pour éliminer les lésions, amas de tissus et tissus cicatriciels associés à l'endométriose.
Les traitements doivent être choisis en fonction de leur efficacité, de leurs effets secondaires, de leur innocuité à long terme, de leur coût et de leur accessibilité.
Le dialogue avec un médecin concernant les options thérapeutiques est essentiel car les traitements peuvent avoir des effets secondaires et les symptômes peuvent réapparaître après l'arrêt de la thérapie.
Les groupes de soutien peuvent fournir un soutien émotionnel supplémentaire aux personnes atteintes d'endométriose. Car n'oublions pas que cette maladie bien que douloureuse physiquement s’accompagne souvent d’une souffrance psychologique.
Les conseils de la naturopathe
La naturopathie est une médecine préventive qui permet d’accompagner chaque personne vers un mieux-être physique et mental. Ces conseils ne se substituent en aucun cas un avis ou un traitement médical. Demandez toujours à votre médecin avant de mettre en place des changements dans votre routine d’hygiène de vie.
En naturopathie, l’accompagnement commence par le traitement de l'inflammation. Il est recommandé de suivre une alimentation équilibrée qui favorise les aliments frais, biologiques et crus. Certains aliments tels que le curcuma, le citron, les fruits doux, les légumes verts, les algues, les graines germées et les noix sont considérés comme anti-inflammatoires naturels, tandis que les viandes, les produits laitiers et les céréales contenant du gluten doivent être évités.
Une gestion du stress est également nécessaire pour lutter contre les maladies chroniques, y compris l'endométriose.
Vous pouvez utiliser la Natte de lit de mise à la Terrequi va permettre de réguler le taux de cortisol, l'hormone du stress.
Pour y parvenir, il est conseillé de prendre des suppléments tels que du magnésium, du zinc, des oméga 3.
Les changements de style de vie, tels que la pensée positive, la respiration et l'exercice régulier, sont de mise pour une gestion adéquate du stress.
Il est également recommandé d'éviter les perturbateurs endocriniens, tels que les additifs alimentaires, les parfums de synthèse, les plastiques et les cosmétiques synthétiques, et de privilégier des alternatives plus saines.
En réduisant l'inflammation et la compression pelvienne, il est possible de réduire les douleurs et de stabiliser ou réduire l'évolution de l'endométriose.
C'est là que la mise à la Terre prend tout son sens!
Marchez pieds nus dans l'herbe ou utilisez produits de mise à la Terre va permettre de réduire significativement l'inflammation.
L'utilisation de plantes est très bénéfique sous formes d’extraits de plantes standardisés (EPS), huiles essentielles, gemmothérapie, tisanes et gélules.
Par exemple, la tisane d'Achillée Millefeuille (Achillea Millefolium) et de Framboisier (Rubus Idaeus) est efficace pour soulager les douleurs menstruelles, les crampes, réguler l'abondance des saignements et décongestionner l'utérus. L'Alchémille (Alchemilla Vulgaris) peut être utilisée lors de l'ovulation pour réduire la congestion pelvienne et les saignements.
L'application locale d'huiles essentielles peut également être très efficace pour réguler les douleurs hormonales. Une combinaison d'huile essentielle de Petit grain bigaradier (Citrus Aurantium) et de Basilic (Ocimum Basilicum) sur le bas-ventre pendant au moins trois mois peut aider à réduire les douleurs. D'autres huiles essentielles telles que la Lavande Vraie (Lavandula Officinale) et l'Estragon (Artemisia Dracunculus) ou la Camomille Noble ou Romaine (Chamaemelum Nobile) et le Fenouil (Foenivulum Vulgare) peuvent également être utiles pour réduire les douleurs.
Mais attention l'utilisation des huiles essentielles demande une certaine maîtrise nécessite l'avis d'un professionnel naturopathe, d'un médecin ou d'un pharmacien formé en aromathérapie.
Pour soulager l'endométriose, la naturopathie prône le nettoyage des toxines du corps (détoxification). Pour cela, on va stimuler les différents émonctoires (foie, poumons, peau, intestin, reins) avec des méthodes naturelles telles que les cures de plantes, les monodiètes, les jeûnes intermittents et les séances de sauna ou de hammam.
La réflexologie plantaire, palmaire, endonasale, auriculaire, faciale, crânienne et abdominale apporte un soutien dans le processus de détoxification.
La vitalité de l'individu est sérieusement à prendre en compte, une personne fatiguée ou en carence risque d'épuiser son métabolisme lors de la détoxification. Il est donc recommandé de consulter un praticien en naturopathie pour un accompagnement personnalisé adapté à chaque personne.
Pour obtenir des informations sur l'endométriose et les différents praticiens spécialisés dans ce domaine vous pouvez vous tourner vers des associations telles qu'ENDOFRANCE, Endogirls et Endomind.
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